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La comédie française “Classico” sur fond d’OM-PSG sur Amazon Prime Video, le documentaire “L’Évadé : L’étrange affaire Carlos Ghosn” ou le film d’animation horrifique “Wendell et Wild” sur Netflix ? Voici notre sélection du week-end sur les plateformes légales de streaming.
Sami, alias Ahmed Sylla, supporter de l’OM infiltré dans les rangs du PSG dans “Classico”. Photo Amazon Prime Video
Voici notre sélection du week-end sur les plateformes légales de streaming.
Qu’y a-t-il de pire pour un Marseillais pur jus que d’égarer la Coupe des Champions, fierté de tout un peuple ? Peut-être de devoir se faire passer pour un Parisien au sein même de la capitale pour la récupérer. C’est le défi de Sami (Ahmed Sylla), minot au grand cœur, qui va devoir s’infiltrer en milieu hostile et manipuler Lisa (Alice Belaïdi), une Parisienne typique. A priori tout les oppose, elle est inaccessible, charmante et toujours pressée. À moins que Sami ne tombe sous le charme de la capitale…
On trouve souvent dans les rayons des librairies des bandes dessinées à tendance humoristiques mettant des groupes bien précis en scène : “Les gendarmes”, “Les rugbymen”, ou “Les profs”. Des BD balançant des gags pas forcément très originaux au kilomètre, avec plus ou moins de réussite, et finissant surtout à faire rire les personnes concernées. Le film “Classico” de Nathanaël Guedj et Adrien Piquet-Gauthier se rapproche de ces BD en proposant… des gags pas forcément très originaux au kilomètre, avec plus ou moins de réussite, et finissant surtout par faire rire les personnes concernées.
Car la comédie a été écrite pour les supporters de foot, avec des références destinées surtout à eux – l’ancien footballeur de l’OM et du PSG Bernard Prado qui refait exactement la scène de Michel Galabru dans “Bienvenue chez les Ch’tis”, caméos de Pauleta (PSG) ou de Dimitri Payet (OM) – dans une histoire somme toute extrêmement classique, et déjà vue. Cependant, “Classico” réussit à retomber sur ses pattes grâce à l’abattage comique d’Ahmed Sylla, dont les mimiques peuvent tirer les rires aux spectateurs les moins connaisseurs en football. C’est peu, mais c’est déjà ça.
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Le documentaire : “L’Évadé : L’étrange affaire Carlos Ghosn” sur Netflix
Comment, après avoir été l’un des PDG les plus respectés de l’industrie automobile, se retrouve-t-on incarcéré au Japon ? Comment s’évade-t-on dans une malle pour devenir un fugitif visé par un mandat d’arrêt international ?
Le documentaire “L’Évadé : L’étrange affaire Carlos Ghosn” revient en 1h30 sur l’ascension et la chute de Carlos Ghosn, avant sa rocambolesque échappée au Liban. Un format qui se concentre sur les années de PDG, et qui veut expliquer à un public peu aux faits des méandres de la vie industrielle de Renault, avec des événements comme la fermeture de Villevoorde en Belgique, l’affaire des faux espions, ou les cas de suicides à cause du surmenage. Inversement, si le licenciement de 21 000 personnes chez Nissan est évoqué, ce sont surtout ses succès au Japon qui sont présentés.
C’est finalement là que le bât blesse : les raisons de sa chute sont présentes (la soirée à Versailles, les multiples propriétés et sociétés-écrans), ainsi que l’évasion du Japon au Liban, mais ces parties ne sont pas traitées en profondeur. Par manque de temps ou par manque d’informations ? On penchera pour cette dernière théorie, tant la nébuleuse Ghosn reste encore mystérieuse, et que Carlos Ghosn est lui-même absent de ce documentaire.
“L’Évadé : L’étrange affaire Carlos Ghosn” s’attache néanmoins à ne pas être qu’à charge envers Ghosn : on y retrouve des témoignages de sa soeur ou de l’un de ses avocats au Japon, et le système judiciaire japonais est présenté sous un jour peu flatteur. Pas suffisant pour faire sortir l’ex-PDG de son silence, et pas suffisant pour offrir un documentaire pleinement satisfaisant.
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Kat est une adolescente difficile hantée par son passé. Pour commencer une nouvelle vie dans sa ville d’origine, elle doit faire face à ses démons intérieurs… et extérieurs : Wendell et Wild, deux frères revenus des enfers.
“Wendell et Wild” marque le retour derrière les caméras de Henry Selick, réalisateur spécialisé dans l’animation image par image (ou stop-motion) dont le dernier film en date, “Coraline”, datait de 2009. Entre projets avortés chez Pixar et difficultés de tournage (la stop-motion étant un mode d’animation notoirement compliqué et coûteux), il a fallu du temps pour voir ce film arriver… et l’attente en valait la peine.
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On retrouve l’ambiance joyeusement morbide de ses précédents films (comme “L’Étrange Noël de Monsieur Jack”) au service d’une histoire de reconstruction d’une adolescente, le tout avec une énergie gentiment punk, y compris dans le choix des chansons – tandis que la musique originale est l’oeuvre du français Bruno Coulais (“Les Choristes”). A cela s’ajoute l’humour grinçant de Jordan Peele. Le réalisateur de “Get Out” ou “Nope” est le co-producteur du film, et en profite pour doubler (en anglais) le démon Wendell, tandis que son comparse Keegan-Michael Key (ils ont formé le duo comique Peele&Key dans les années 2010) incarne l’autre démon, Wild.
Le tout donne un film au style unique, s’autorisant des folies visuelles aussi bien au niveau des blagues que de la narration, sans jamais oublier son focus. L’un des meilleurs films (aussi bien pour les petits que pour les grands) de cette saison d’Halloween.
Ça y est, toutes les Miss régionales ont été élues. Elles sont 30 en lice pour succéder à Diane Leyre, …
Les films et séries qui arrivent ce mois-ci sur les plateformes légales de streaming.
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